Le bois de chauffage
La corvée du bois de chauffage
Le bois était une ressource indispensable aux habitants.
Il servait à chauffer les habitations l’hiver ainsi qu’à cuisiner tout au long de l’année.
Puisque c’était d’une importance majeure, toute la famille travaillait pour se procurer le bois nécessaire pour l’année. Famille, amis et voisins s’entraidaient dans cette tâche exténuante qu’était la corvée de bois de chauffage.
Vers 1905 à Sainte-Christine
Quand quelqu’un avait besoin d’aide on organisait une corvée, un « bee », soit, comme ici, pour bûcher du bois ou souvent pour reconstruire un bâtiment après un incendie.
1ère rangée de gauche à droite : Narcisse Dupuis, Charles Gauthier, Joseph Desmarais, Désiré Graveline, Ovila Béchard, Delvica Dupuis, Henri Dupuis, Edmond Dupuis, Henri Lavallée, Emmanuel Dupuis, M. Gauthier.
2e rangée : Napoléon Normandin, Hormidas Bathalon, Freddy Bisaillon, Albert Gauthier, Joseph Landry, Pierre Landry, Azarias Dupuis, Eugène Béchard, Charles Dufault, M. Larocque, Charles Larocque, Théodule Béchard.
3e rangée : Denis Donavan, Arthur Normand, Napoléon Landry, Narcisse Landry, Albert Lavallée, Ti-Pit Deslandes, Alexandre Bouchard, Paul Barbeau, Wilfrid Dupuis, Alphonse Lavallée, Louis Landry, Eugène Dupuis, Johnny Normandin, Aquila Dupuis.
Photo : Pierre Bond, Acton Vale
Source : Société d’histoire de la région d’Acton
Transporter le bois
En 1945, Monsieur Paul-Émile Casavant, du 8e rang de Saint-Valérien-de-Milton, profite d’une belle journée d’hiver pour ramener à la maison un voyage de petit bois.
Photo : Marie-Blanche Laplante Casavant, Saint-Valérien-de-Milton
Source : Société d’histoire de la région d’Acton
Abattre les arbres, les débiter, fendre les billots et transporter le bois, autant de tâches que Jean-Paul St-Amour devait accomplir chaque hiver pour chauffer la maison et le poêle de la maison et aussi de la cabane à sucre. La scène a été prise au début de l’hiver 1943 dans le 3e rang de Sainte-Christine.
Photo : Aline Lamarche Saint-Amour, Sainte-Christine
Source : Société d’histoire de la région d’Acton
Fendre le bois
Sur la terre des Gaucher, au 309 route 116 Est à Acton Vale, Arthur Gaucher et son beau-frère Donat Filion s’affairent à fendre du bois de chauffage pour l’hiver prochain. La vente du bois de corde constitue un revenu d’appoint pour de nombreux producteurs agricoles et les beaux-frères échangent de leur temps pour les plus gros travaux comme le sciage de cinq cents cordes de bois par année qu’ils vendent et livrent aux résidents de la ville.
Photo : Jean-Charles Gaucher, Acton Vale
Source : Société d’histoire de la région d’Acton
Corder et rentrer le bois
Photo prise en 1955 à Saint-Hugues.
Ginette, âgée de deux ans, aide son père Jean-Paul Pelletier en apportant ces quelques morceaux de bois à sa mère Thérèse.
C'était souvent la tâche des enfants de rentrer le bois, dans la boîte à bois, en hiver, pour chauffer la maison.
Photo : Jean-Paul Pelletier, Saint-Hugues
Source : Société d’histoire de la région d’Acton